Bloc-notes nouveauté sur Mezetulle
Pour une philosophie du travail :
recension du livre de Martine Verlhac par Edith Fuchs
Après l'article de Jean-Michel Muglioni Le coût du travail (voir ci-dessous) Mezetulle salue la parution du livre de Martine Verlhac Pour une philosophie du travail en accueillant l'analyse qu'en donne Edith Fuchs dans son article La centralité du travail.
Dans Pour une philosophie du travail (alterbooks, 2012), Martine Verlhac propose de reprendre à nouveaux frais les analyses du travail. Il y a une ambivalence du travail dont la méconnaissance expliquerait les diverses erreurs que l'essai s'attache à démanteler, qu'il s'agisse de dévaluer l' « animal laborans » ou de prophétiser la « fin du travail ».
Il faut rendre la question du travail à la politique pour lui octroyer la place centrale qui est la sienne. Ce faisant la rend-on à la philosophie ? telle est la question que soulève Martine Verlhac.
Lire l'article d'Edith Fuchs : La centralité du travail
Rappel. Sur la question du travail, Mezetulle a déjà publié :
- Le coût du travail (par J.-M. Muglioni) 10 mars 2012
- Le travailleur, le mercenaire et l'identité nationale (par J.-M. Muglioni) 4 déc. 2009
- Suicides au travail: le tournant gestionnaire et le déficit philosophique (par Martine Verlhac) 4 oct. 2009
- Sur un mot révélateur de Laurence Parisot : « La vie, la santé, l'amour sont précaires, pourquoi le travail échapperait-il à cette loi ?» (par J.-M. Muglioni) 7 déc. 2007
NB. Les commentaires de ce billet d'annonce sont fermés, merci aux lecteurs de poster leurs commentaires sur l'article d'Edith Fuchs.